C'est à Marguerite Dubuisson,amie trés chère, que je dédie ce document sans prétention.

Un document de travail où l'oeuvre d'ART, qui s'élabore par ailleur, jour aprés jour, trouve le palier où l'on reprend un souffle devenant court.

Le palier des méditations tranquilles où l'on compte ses amis.

... Et vous êtes là, chère Marguerite.

G.A Favaudon.

Ville en Tardenois. le 12 Mai 1973.

Cette préface, qu'il eut fallu accepter comme un hommage ou comme le témoignage d'une amitié fidèle, ou pour toute autres raisons, je la refuse.
La conjoncture suffit à expliquer cela.
Demain, je reprendrai avec SATAN, qui ne veut point m'abandonner, la dure escalade de la connaissance de soi pour affronter le reste.
En chemin; je tâcherai de pleurer sur ce que la cosmogonie nous offre encore de frais, de pur, d'éternel.
Au bout de la route, je voudrais dire un au revoir si discret qu'on ne le remarquât point. Comme une manière de m'excuser d'un trop-plein abusivement déversé.

G.A Favaudon.

 
     J'ai cherché, outre le fer de l'épée, outre la
 terre du sillon, outre le ver  anihilant toute vie, le site,
 l'endroit, l'étendard,le drapeau,  le symbole de la VERITE,
 pour le porter très haut.

 Mais faut-il être un porteur sans gages ?